Sur le chemin du progrès, la science de la santé repose sur trois étapes :
- Connaître la vérité
- Comprendre
- Réaliser
« La maladie est une offense à Dieu. La santé est le meilleur hommage que l’homme peut offrir à son Créateur.” – Cardinal Verdier
Pour atteindre l’objectif glorieux de la Santé, il est nécessaire de connaître les lois naturelles, de les comprendre et de les appliquer correctement. La sagesse est et réside dans la nature et non dans un laboratoire. Pour être vraiment sage, il faut observer l’œuvre du Créateur, c’est-à-dire la Nature. Pratiquer ses lois immuables et acquérir suffisamment d’expérience personnelle fait partie intégrante de notre chemin.
Le laboratoire ne forme que la sagesse conventionnelle. Les sages de laboratoire, qui ne posséderont jamais la science du bonheur des êtres irrationnels qui vivent en bonne santé sans autre guide que leur instinct. La santé vaut plus que la vie car sans elle elle n’en vaut pas la peine.
“L’ignorance de la Santé” est la seule véritable cause de toutes les maladies
L’école enseigne à l’enfant et au jeune beaucoup de connaissances considéré comme essentiel pour assurer le succès dans la vie. Cependant, on ne leur apprend pas les moyens de guider et de soigner l’organisme délicat que le Créateur a mis à la disposition de chaque homme. Cette voie créatrice mise à disposition pour qu’il accomplisse sa destinée morale et physique.
Si, pour entreprendre un voyage long, pénible et mouvementé, on offre à un voyageur inexpérimenté une magnifique automobile, sans lui apprendre au préalable à la manier et à en prendre soin pour éviter les pannes et accidents, ni les moyens appropriés pour rétablir son fonctionnement normal, nous conviendrons que ce n’est que par miracle qu’il arrivera en fin de vie et que ce sera une épreuve qui ne sera pas apaisée par les nombreux mécaniciens que vous trouverez sur votre chemin, toujours prêts à effectuer le réparations nécessaires en échange du paiement de leurs services.
Nous comprenons tous quand il s’agit d’une question triviale
Elle semble être oubliée lorsqu’il s’agit d’une question aussi fondamentale que la vie elle-même au sein de ce que nous appelons habituellement la civilisation.
Les parents ignorants, qui sont presque tous, croient que préparer votre enfant à la dure expérience de la vie suffit de le remettre à ses professeurs, plein de connaissances théoriques et artificielles. Ainsi, l’enfant, après de dures épreuves pour acquérir des connaissances moins qu’inutiles, il se jette dans le parcours de la vie possesseur d’un organisme dont il ne sait ou ne sait pas s’occuper, encore moins réparer en cas d’accident ou d’altération partie de votre santé.
Mais comment exiger que l’enfant à éviter les maladies alors qu’elles ne dépendent pas de lui. Que cette maladie est considérée comme l’œuvre d’un agent mystérieux, malin et capricieux comme le diable. Mieux connu sous le nom de microbe qui cause la maladie et les infections?
Si chaque jour nous sommes exposés à être victimes de l’infection qui nous guette partout, à quoi nous sert la connaissance? Si pour combattre cet ennemi invisible et puissant nous devons posséder la science cachée du laboratoire réservé à ses seuls prêtres ? Nous ne pouvons que nous abandonner au caprice du destin. Nous tourner vers la seule solution conventionnelle. Et le prêtre de la science microbienne sera là pour nous libérer de la menace du nouveau démon.
La science de la santé conventionnelle contient les erreurs consacrées par la civilisation
Nous n’entendons pas soustraire le monde à l’erreur dans laquelle il semble vivre si joyeusement. Cependant, nous croyons que nous faisons du bien à nos semblables leur montrant les erreurs dont nous avons été victimes et enseignant à ceux qui souffrent le chemin de la libération.
L’homme, dans son ignorance, tient même Dieu pour responsable de ses malheurs. Il oublie que chacun a ce qu’il mérite et que l’homme est le fils de ses œuvres. Nous tombons malades à cause de nos propres erreurs dans la vie. La santé ne s’obtient pas avec des médecins ou des médicaments, mais avec nos actions quotidiennes. La volonté de chacun est donc le premier agent de santé.